Stress & Anxiété
Notre mental, nos émotions et notre corps subissent en permanence les stress extérieurs. Nous devons sans cesse nous adapter aux changements et à une charge de travail qui semble toujours plus importante.
À la longue, cela perturbe notre équilibre psychique et énergétique, nous empêchant de connaître la paix et le repos.
Si l’on ne fait rien pour réguler ces déséquilibres, notre corps va exprimer son besoin de se libérer par des tensions physiques, des douleurs, des problèmes de
des problèmes de sommeil, une irritabilité sans objet, de la fatigue ou des problèmes digestifs. Puis, si nous continuons à ne pas écouter ces « maux », le corps va s’exprimer par des « mots » plus forts : ulcères, compulsions, tics, tocs, anxiété, déprime, hypertension, somatisation physique, burn-out, maladie nécessitant de nous arrêter.
Fleurs de Bach
Docteur Bach était persuadé que toutes les affections, graves ou chroniques, pas seulement les dépressions, étaient liées à un problème affectif ou émotionnel. Cette évidence, souvent ignorée des médecins qui cherchent d’abord à isoler chaque maladie est aussi tournée en dérision par la plupart des gens. « C’est dans la tête que ça se passe », signifie désormais que c’est « psychosomatique », sous-entendu sans raison médicale réelle.
Quel rapport entre stress, anxiété et fleurs de Bach ?
Il faut prendre conscience que la plupart des affections, petites ou grandes, sont d’ordre psychosomatique : le corps, par des poussées d’eczéma, d’herpès ou de fièvre, se révolte contre des problèmes psychologiques cachés.
Il est prouvé que notre moral intervient directement sur les capacités de notre corps à trouver les réponses nécessaires. Si vous êtes stressé, fatigué, vous laissez la porte ouverte aux infections de toutes sortes. Si vous vous sentez fort, vous passez à travers les rhumes et les grippes. Bien entendu, certains facteurs ou comportements (tabac, alcool, alimentation déstructurée…) augmentent les risques de maladie.
Les fleurs de Bach, par un double effet, permettent une approche progressive : d’abord le remède réduit les troubles presque immédiatement, ensuite il « ouvre » l’esprit, facilitant la compréhension.
Le remède capte la vibration « positive » ou « thérapeutique » d’une fleur, la conserve et la transmet à l’organisme affecté.
Prenons un exemple, le grignotage :
Il faut distinguer les causes affectives immédiates (manque de sécurité, dispute, choc à la suite de la perte d’un emploi, crainte d’affronter la réalité, insatisfaction) qui déclenchent l’envie de manger des éventuelles causes enfouies, d’ordre psychanalytiques (relation parent-enfant mal vécue, traumatisme refoulé).
Si juste après (ou pendant) la situation déclenchante, le « malade » prend quelques gouttes de l’élixir (Heather, Mimulus, Agrimony ou bien encore Walnut), il pourra renoncer à son comportement addictif, en l’occurrence le grignotage.
Alors, mieux vaut prendre les devant. En calmant la tempête intérieure, vous vous recentrez sur l’essentiel au lieu de dépenser votre énergie sur des pensées et des émotions inutiles.
Prêt(e) pour aller plus loin ?
Si vous en ressentez le besoin, je peux vous accompagner sur le sujet (en cabinet ou à distance par visioconférence). N’hésitez pas à revenir vers moi.
Naturopathe à Paris